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DIRECTION LOMBEZ SAMATAN !

En ce jour de la Sainte Aimée (c’est pour la victoire que nos joueurs se doivent d’avoir les yeux de Chimène), troisième déplacement en terre gersoise, qui il faut bien le reconnaître est loin d’être hospitalière cette saison pour nos couleurs.

L’an passé au terme d’une rencontre peu enlevée, les Sudistes s’en étaient retournés toujours invaincu des abords de la Save, mais ensuite, malheureusement, Dame Pandémie n’allait pas permettre de poursuivre sur cet élan prometteur.

A cinq journées du terme de cette phase de poule, c’est donc chez le dernier de la classe que les « rouge et bleu » seraient bien inspirés d’imiter les prétendants aux places qualificatives directes.
Mais qui aurait pu croire qu’après un début de championnat prometteur, les hôtes du jour se retrouveraient dans cette situation qui, bien que sans incidence sur leur avenir, n’en demeure pas moins frustrante.
La faute, sans doute, à la malchance sur certains matchs avec en sus des absences handicapantes dans des moments cruciaux.

Mais ce n’est pas le style de la maison de baisser les bras et en réalité qui d’autre est mieux placé que Grégory MOULIS, le Gersois « pur jus » pour parler du club de son cœur puis mettre en garde ses joueurs sans tomber dans les clichés trop souvent convenus.
Et puis la venue de Tyrosse, club cher au cœur de l’ancien « sorcier » Henri BRONCAN, fait partie des événements dont il faut être à la hauteur.

La récente désillusion Angloye doit rester dans un coin de tête des Tyrossais avec imprimée en gros caractères la mention « voilà ce qu’il faut éviter de faire » !

Souhaitons également la clémence de Dame Météo car les plus anciens supporters se rappelleront certainement de l’attachante glaise qui l’hiver venu ne veut plus vous quitter et limite les grandes envolées.
Pour peu que les bonnes nouvelles continuent à arriver du côté de l’infirmerie les voyants devraient passer au vert.

En parallèle, belle occasion pour les Espoirs de retrouver l’envie du succès après le petit « couac » dominical précédent, qui sans remettre en cause la valeur de l’adversaire aura au moins eu le mérite de rappeler qu’en rugby rien n’est écrit à l’avance.

Jean-Jacques LECOUONA

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